Cabo Polonio

Nous partons dans les dunes, à la découverte de Cabo Polonio… Sans Bôtiluth : il en a déjà trop vu, et de toutes manières, il ne serait pas le bienvenu. Dans ce petit village de pêcheurs reconverti en havre de paix pour hippies, il n’y a pas de voitures. Pour y accéder, il faut grimper dans un «bus», comprendre un gros camion 4×4 réaménagé, qui va nous secouer à travers les dunes et la plage jusqu’à destination! Malgré le temps (breton?), on en profite bien, encore une expérience atypique!

Une fois sur place, on sent bien de nouveau que l’on est hors saison, les lieux sont plutôt déserts… Mais il règne ici une ambiance tranquille, tout est calme et les maisons sont colorées. Même les poubelles sont ornées de soleils souriants. Se promener dans des rues en herbes, quel bonheur. Enfin, quand on trouve où est la rue car il n’y a aucune clôture!

Nous partons faire le tour de la pointe, marchant le long des rochers, parfois entre deux vagues, jusqu’à ce que Jo interpelle les deux grandes: ne marchez pas sur celui là!

Face à nous, un lion de mer était visiblement assoupi! Chacun à sa surprise, nous reculons bien vite et le contournons. Mais nous sommes vraiment ravis de cette rencontre inopinée, quelle chance de pouvoir le voir d’aussi près!

Nous continuons vers le phare, en nous disant que décidément, cette côte est magnifique. Jumelles en main, nous constatons que les îles en face sont peuplées de lions de mer, mais au pied du phare, on en trouve des dizaines : toute une zone leur a été réservée.

Après une longue observation des petits et des grands qui se déplacent lentement sur les rochers, nous reprenons notre promenade, à la recherche d’un coin abrité du vent pour pique-niquer… Mais bon, vu les températures, nous optons pour une pizza à l’abri : bien nous en a pris, il se mettra à pleuvoir à peine nos sacs posés!

Une fois repus, nous partons vers la plage, profiter des vues, des lumières et des couleurs… Et surtout du grand air! Nous y croiserons un petit lion de mer dans les vagues, l’air un peu perdu. Malheureusement, nous sommes bien impuissants et devrons le laisser là, une loi de la nature pas très simple à comprendre pour les enfants.

Après avoir de nouveau arpenté le village et la côte, nous reprenons le bus, et les deux grandes prennent l’option de voyager perchées sur les places arrières : wouah!

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